Réaliser un article n’est pas une mince affaire. Entre avoir l’idée du sujet et publier l’article il y a un long chemin à parcourir.
La qualité de vie au travail est un sujet qui m’est venu assez naturellement. Toutes les entreprises ont recours à la qualité de vie au travail, quel que soit le moyen. J’ai donc commencé à faire des recherches sur ce qui se disait dans les journaux sur ce sujet. J’ai vu beaucoup d’articles qui proposaient des start-ups pour une meilleure qualité de vie au travail. J’ai donc listé les entreprises que je pouvais contacter et j’ai poursuivi mes recherches.
Une prise de contacts à travers le réseau
Dans un second temps, j’ai discuté de mon projet à mes proches. Mon père m’a donné le numéro d’un ami à lui, Pierre Vandenbossche qui est responsable des Ressources Humaines dans l’entreprise LDC.fr. Un rendez-vous téléphonique plus tard je connaissais mieux mon sujet et étais plus apte à poser certaines questions aux start-ups.
J’ai ensuite contacté toutes les start-ups. Après quelques refus, une entreprise accepte de me rencontrer. On établit un premier contact et on prévoit un rendez-vous. Cependant, au vu des circonstances actuelles, l’entreprise a fermé et je dois rester confinée pour limiter la pandémie.
Un problème se pose alors. J’ai une interview téléphonique mais je n’ai pas de reportage. Etant donné la situation actuelle, je vais rester sur un portrait en apportant des compléments des sites web des différentes start-ups.
Une rédaction en demi-teinte
La rédaction peut alors commencer. Un enrichissement web se fera également par la suite avec les différentes start-ups et leurs propositions pour améliorer la qualité de vie au travail. Le journalisme de solution est ainsi amené ici avec toutes ces méthodes pour diversifier les méthodes de travail et l’amélioration des temps de pause. J’ai également envoyé mon article à Pierre Vandenbossche afin qu’il le lise et m’indique s’il est d’accord avec les propos que j’ai rapporté selon ce qu’il m’a dit. Un journaliste se doit d’être honnête donc il doit passer par cette étape importante.
Une relecture par les camarades, l’intervenant et on peut le publier. Et pour cela, rien de mieux que son propre site internet. La diffusion se fait ensuite à travers les réseaux sociaux.